BRANCHET ET ASSPRO, UN PARTENARIAT DE LONGUE DATE

Depuis 30, les médecins du bloc opératoire adhérents d'ASSPRO bénéficient d'un accompagnement au quotidien dans la prévention des risques.


Tous ces services ont vu le jour grâce au partenariat d'ASSPRO avec Branchet, leader dans l'assurance des médecins.


Découvrez les interviews croisées du Dr Patrick-Georges Yavordios, anesthésiste-réanimateur et président d'ASSPRO, du Dr Olivier Leroy, infectiologue et directeur médical Branchet et de Philippe Auzimour, directeur général de Branchet.

 

 

Qu'attendent les adhérents ASSPRO du partenariat avec Branchet ?

Dr Patrick-Georges Yavordios, Président d'ASSPRO : Être rassuré sur la qualité de leur prise en charge et avoir un accompagnement en cas de difficulté. Et bénéficier de formations adaptées à leur spécialité.


Selon vous quel est le rôle d'un assureur spécialisé dans le risque opératoire ?

Philippe Auzimour, Directeur Général Branchet :
• Indemniser l'accident opératoire
• Assister le praticien dans les situations difficiles
• L'aider à améliorer la sécurité de sa pratique par la formation et les moyens de prévention adaptés

 

 

Branchet a-t-il tenu ces engagements ?

Dr PG.Y. : Branchet les a tenus et n'a affiché aucune discontinuité dans sa capacité à assurer tous les praticiens du bloc opératoire quelle que soit la spécialité. D'autres assureurs sont venus sur le marché, puis sont repartis... puis revenus. Pas Branchet.
C'est l'une des raisons de la fidélité des assurés Branchet.

 

Quelles autres raisons rendent vos assurés si fidèles ?

P.A. :
• Un accompagnement personnalisé. Chez Branchet nous avons un chargé de clientèle par spécialité et nos assurés ne sont pas conseillés par une plateforme téléphonique
• Une défense sans compromis avec des avocats et des médecins-conseil de la spécialité en exercice
• Une assistance pluridisciplinaire H24 en médico-légal, en infectiologie ou pour toute autre forme de crise

 

PREVENTION

Pourquoi insistez-vous autant sur les services d'Assistance de Branchet, du H24 par exemple ?

Dr Olivier Leroy, directeur médical, Branchet : L'assistance est indissociable de l'assurance pour éviter le sinistre, ou contrôler son dérapage. Nos assurés expriment un besoin croissant en assistance médicale, juridique, infectiologique. Ils ont constamment besoin de se sentir confortés dans le suivi des recommandations de leurs sociétés savantes, par rapport au droit, où sont tout simplement privés de services en infectiologie.
Nos médecins ou juristes répondent à ce besoin 24/7.

 

DEFENSE

Sur la prise en charge face à un sinistre, qu'est ce qui est le plus marquant pour les assurés ?

P.A. : J'ai toujours été impressionné par le désarroi des praticiens qui ont une mise en cause pour la première fois. Il est critique de les prendre en charge à la fois juridiquement mais aussi avec l'empathie appropriée. C'est pourquoi nous ne cédons pas aux tentations de faire des économies sur cette prise en charge qui doit être pluridisciplinaire même en CCI. Il faut ensuite les aider à apprendre de leurs erreurs. C'est là que la différence se fait.

 

EVOLUTIONS

Comment aidez-vous les praticiens à anticiper les nouveaux risques ?

P.A: Anticiper les nouvelles menaces peut diminuer le risque pour les praticiens et consolider leur indépendance professionnelle. On peut citer le manque de personnel qui vient perturber l'organisation au bloc, la financiarisation excessive des établissements avec des résultats impossibles à atteindre, l'influence des laboratoires dans le choix des DMI ou des médicaments, le piratage des données et les cyber risques...

 

Comment évoluent les relations entre médecins et cliniques ?

P.A. : Elles restent tendues depuis les difficultés liées à la reprise d'activité après la crise du Covid. Les médecins doivent reprendre la gouvernance de leur outil de travail. Les études sur les mises en cause de nos adhérents montrent que les praticiens exerçant dans des cliniques à gouvernance médicale ont moins de mises en cause que leurs confrères exerçant dans des établissements détenus par des groupes financiers. Il faut donc que les médecins influencent davantage les décisions concernant la qualité des soins et la sécurité au bloc opératoire. Cela passe par le fait que la nouvelle génération de médecins va à nouveau investir dans des entreprises médicales et la création de centres ambulatoires. C'est donc un mouvement de balancier qui s'inverse puisque leurs aînés avaient cédé leurs entreprises à de grands groupes financiers.

 

 

Branchet fait-elle preuve de transparence envers les adhérents ASSPRO ?

Dr PG.Y. : Certains mécanismes de l'assurance doivent souvent nous être expliqués. Nous avons demandé à Branchet de faire œuvre de pédagogie dans le domaine.

 

Que fait Branchet pour rendre l'assurance plus lisible ?

P.A. : J'informe Asspro et les associations partenaires de toute évolution substantielle concernant les conditions d'assurance et les tarifs. Faire des émissions Branchet TV sur des sujets d'assurance pourrait y contribuer.

 

Quels sont les profils des adhérents ASSPRO ?

Dr PG.Y. : Deux tiers sont des chirurgiens, un tiers des anesthésistes. Donc des praticiens du bloc, avec les risques pré, per et post opératoires.
Un quart sont des jeunes assurés, qui construisent leur patientèle. La moitié sont des praticiens en pleine activité, avec un nombre d‘opérations par an important, des gestes éprouvés et innovants. Le dernier quart représente des praticiens avec des exercices mixtes ou qui ont adapté leurs pratiques.

 

Que diriez-vous aux médecins qui s'installent ? Qui prennent leur retraite ?

Dr PG.Y. : Qu'ils doivent faire l'objet d'un compagnonnage, y compris en matière d'assurance. Qu'un de leur pair doit les accueillir, leur expliquer les risques du métier, les préparer à leur première mise en cause qui survient au bout de 7 ans en moyenne. Le « Mentor » veille sur la bonne évolution de ses pratiques et de sa formation.
A ceux qui prennent leur retraite, savoir comment pratiquer le plus longtemps possible sans prendre trop de risques. Ceux qui le font restent très longtemps assurés chez nous et nous diminuons leur prime en conséquence.

 

Et à ceux qui souhaitent changer d'assureur ?

Dr PG.Y. : Regarder l'environnement les moyens déployer dans sa défense, les résultats et les actions mises en œuvre pour réduire les risques, sécuriser la pratique et assurer la pérennité de l‘assurance.

 

Concernant la gestion des risques et la baisse des primes, Branchet joue-t-elle son rôle ?

Dr O.L. : Oui, et bien au-delà de ce que font les autres assureurs. Nos adhérents sont formés, assistés, accompagnés de façon individualisée. C'est l'intérêt d'avoir choisi un assureur de taille intermédiaire. Nous arrivons ainsi à contenir l'inflation des primes. Ceux qui ne le font pas annoncent une inflation trois fois supérieure.

 

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